Samhain est souvent présenté comme une fête. Une célébration païenne de l’automne, du nouvel an des sorcières, un moment de connexion avec les ancêtres. Tout cela est vrai. Mais Samhain est aussi — et surtout — un moment de bascule intérieure.
C’est une période où l’on peut choisir de regarder ce qui, en soi, est prêt à mourir. Pas la mort physique. Mais ces parts de nous qui ont terminé leur cycle. Des rôles, des schémas, des façons de faire, des illusions parfois tenaces